Accueil > Investissement > Huit mois après son arrivée, Public.com quitte le Royaume-Uni Huit mois après son arrivée, Public.com quitte le Royaume-Uni Par Caroline Soutarson. Publié le 28 février 2024 à 17h34 - Mis à jour le 28 février 2024 à 18h27 Ressources Le spécialiste du social trading Public.com change de cap. Après avoir opté en 2022 pour une stratégie d’expansion à l’international, qui s’est matérialisée en juillet 2023 par le lancement du Royaume-Uni, le néocourtier fait machine arrière, a rapporté City A.M. le 26 février. Public.com a finalement décidé de se concentrer sur son marché domestique et repousse son projet d’extension géographique. L’investissement est désormais interdit pour les clients britanniques, qui doivent revendre les actifs acquis via la plateforme dans les prochaines semaines, avant sa fermeture définitive outre-Manche le 4 mai. “Pour tous les retraits effectués à partir du 26 février 2024, Public renonce à ses frais de conversion de devises et vous dédommage pour les frais de change de tiers. Public vous dédommage également pour retrouver une position financière équivalente si vous choisissez d’ouvrir un compte auprès d’une autre plateforme”, indique la société dans sa FAQ. À noter : Le 28 février, son concurrent Webull a de son côté annoncé sa fusion avec la Spac cotée sur le Nasdaq, SK Growth Opportunities Corporation. À cette occasion, Webull se valorise à 7,3 milliards de dollars. Retrouvez dès demain dans notre lettre hebdomadaire un dossier sur l’arrivée des néocourtiers américains en Europe et les orientations stratégiques de leurs homologues européens. Caroline Soutarson néocourtiertrading Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Le néocourtier Trade Republic devient un établissement bancaire Robinhood lancera sa solution de trading crypto dans l’UE dans les prochaines semaines Le néocourtier Robinhood place un ancien de Freetrade à la tête du marché britannique Les néocourtiers américains Public.com et Webull débarquent au Royaume-Uni Comment les néocourtiers composent avec les marchés baissiers