Une étude révèle un problème majeur de brand safety sur le réseau Google Search Partners

Une étude d’Adalytics, société de services d’analytics pour les acheteurs médias, à laquelle TechCrunch consacre une enquête publiée mardi 28 novembre, conclut que les publicités sur le réseau de sites tiers Google Search Partners (GSP, ex AdWords) sont susceptibles d’apparaître sur un grand nombre de sites ne respectant pas les conditions générales de Google : sites pornographiques, proposant des contenus piratés, ou appartenant à des entités sous sanctions américaines en Iran ou en Russie. Google s’est défendu en accusant – une nouvelle fois – Adalytics de diffamation pour vendre ses propres services, et en indiquant qu’aucun revenu publicitaire n’avait été généré par les sites pointés par l’étude, qui ne concernerait qu’une petite partie de GSP : les sites utilisant le widget gratuit de recherche ProSE.

À retenir. La présence d’une campagne de liens sponsorisés sur GSP est activée par défaut sur la plateforme de Google (opt-out), et la liste des sites du réseau n’est pas accessible aux annonceurs. Mais pour les clients utilisant la solution totalement automatisée Performance Max, qui repose sur l’IA pour la création, le ciblage et la diffusion d’une campagne, il n’est pas possible de choisir d’éliminer les sites GSP.