La start-up londonienne, qui développe des infrastructures de post-marché (règlement-livraison, compensation) basées sur la blockchain, compte devenir le «plombier» de la finance européenne. Elle prévoit de conclure divers partenariats et d’étoffer ses effectifs à terme.
SETL explique avoir choisi la France pour deux motifs principaux : le Brexit et la richesse de l’écosystème technologique de l’Hexagone qui comporte un nombre important d’émetteurs et d’investisseurs. Selon Pierre Davoust, le directeur de l’antenne parisienne, la France regroupe les meilleures écoles informatiques, ainsi que des cryptologues et des développeurs de très haut niveau. De plus, la réglementation y est favorable aux nouvelles technologies comme l’a montré la loi Sapin 2 (article...
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