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Accueil > Industrie > Accès au marché > Boehringer Ingelheim détaille les trois piliers de sa stratégie digitale

Boehringer Ingelheim détaille les trois piliers de sa stratégie digitale

Par Aurélie Dureuil. Publié le 02 mai 2018 à 17h07 - Mis à jour le 02 mai 2018 à 17h07
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La présentation des résultats annuels 2017 le 25 avril dernier a été l’occasion pour Boehringer Ingelheim de dresser le portrait de sa stratégie digitale. “Notre but doit être d’exploiter pleinement le potentiel digital de Boehringer Ingelheim”, a affirmé Michael Schmelmer, membre du conseil d’administration, directeur financier et auparavant directeur de l’information (CIO). Il a ainsi détaillé les trois piliers de cette stratégie : “la disruption digitale, l’investissement dans les start-up et la transformation des différentes activités”.

Le premier pilier s’appuie sur le lab digital BI X, dans lequel le groupe a investi 20 millions d’euros en 2017. Officialisé en juin 2017, il compte 30 employés et est situé au siège. Le laboratoire allemand prévoit de porter les effectifs à 50 personnes d’ici à mi-2018, selon Michael Schmelmer. Ce lab vise à développer des produits et solutions pour les différentes activités du groupe (pharmacie humaine, santé animale, et biopharmaceutique).

Le deuxième pilier concerne l’investissement dans les start-up. Avec son véhicule d’investissement Boehringer Ingelheim Venture Fund, le groupe vise les prises de participation early-stage. “Sur un volume d’investissement de 250 millions d’euros, 50 millions d’euros sont réservés pour l’innovation digitale. Nous regardons spécifiquement les start-up que nous pouvons soutenir avec de l’argent, des idées et des partenariats”, signale le CFO qui n’exclut pas la possibilité d’acquisitions. Afin de détecter ces start-up, le groupe a notamment conclu un partenriat avec le Startupbootcamp Digital Health Berlin.

Enfin, le troisième pilier de la stratégie repose sur la transformation digitale des activités. Michael Schmelmer a cité plusieurs exemples de projets. Le groupe partage avec les scientifiques des données sur vingt molécules sur son portail opnme.com et propose deux molécules supplémentaires dans le cadre de projets de collaborations de recherche. Le groupe travaille également sur des projets d’intelligence artificielle et d’applications mobiles, dans le domaine du diagnostic. Enfin, le laboratoire a développé une solution digitale pour les propriétaires d’animaux.

Le laboratoire allemand a enregistré un résultat d’exploitation de 3,5 Md € en 2017 pour un chiffre d’affaires de 18,1 Md €, en croissance respectivement de 21 % et 15,7 % à taux de change constant.

 

Aurélie Dureuil
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