Après un parcours atypique, Christophe Bossut a été nommé, le 26 mai dernier, directeur général délégué du Groupe Revue Fiduciaire. Avec 35 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel et 4 millions d’euros de résultat net au 30 septembre 2013, le groupe de 200 salariés (70 journalistes), fondé en 1917 et positionné sur l’information professionnelle et l’édition dans les domaines juridique, fiscal, comptable, social et patrimoine, n’est pas encore concerné par les changements d’usages : 90 % de ses revenus proviennent du papier. Revue Fiduciaire met pourtant en place de nouveaux dispositifs numériques complémentaires avec ses offres papier, et s’appuie notamment sur les technologies mobiles augmentées pour effectuer une mise à jour permanente de ses contenus. Christophe Bossut détaille la stratégie du groupe à Satellinet et livre son regard sur l’évolution du secteur.
Vous avez récemment été promu directeur général délégué du groupe Revue Fiduciaire. Quel a été votre parcours ?
Je suis de formation scientifique mais j’ai commencé ma carrière en tant qu’instituteur. En 1989, j’ai fondé la société Eurografic, spécialisée dans le traitement numérique d’image et le flashage, basée à Strasbourg. Celle-ci a été rachetée en 1994 par le groupe Valblor, au sein duquel j’ai occupé la fonction de directeur technique jusqu’à mon arrivée au sein du groupe Revue Fiduciaire
…Vous lisez cet article grâce à votre abonnement à mind Media.
Explorez de nouveaux horizons en consultant nos autres verticales :
Vous avez une information à nous partager ?
Article à retrouver dans La lettre mind Media n°211
Chaque mois, retrouvez l'essentiel de nos articles
Lundi 8 septembre 2014