Ces deux dernières années, des éditeurs et des annonceurs ont émis des doutes sur les DMP comme outil de gestion et d’activation de données clients. Si auparavant NP6 utilisait le terme de data management plateform (DMP) en y ajoutant le qualificatif de "customer centric", elle adopte désormais celui de CDP, pour Customer data platforms, afin de définir sa solution. Jean-Sébastien Suze, ancien directeur général d’Ezakus France, l'un des premiers éditeurs de DMP en France, explique à mind Media les raisons de cette évolution étymologique, les différences opérationnelles et en quoi c'est une tendance de fond pour la data.
Les DMP étaient encore considérées il y a peu comme une technologie incontournable au service des éditeurs et des annonceurs. Puis des clients se sont dits mécontents et des acteurs de ce marché, dont NP6, ont cessé d’employer le terme DMP en le remplaçant par CDP. Pour quelles raisons ?
Pour comprendre ce virage, il faut se souvenir de l’usage que le marché a fait des premières DMP média, qui se sont avérées un très mauvais choix financier pour les annonceurs. L’objet premier d’une DMP est de r
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