Depuis l’ouverture à la concurrence des paris et jeux de hasard en ligne en 2010, l’Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL) a autorisé vingt acteurs à opérer sur le secteur. En 2012, le total des mises effectuées sur le poker, les paris hippiques et sportifs a atteint 9,4 milliards d’euros. Mais selon l’ARJEL, le total des mises a marqué un recul de 8,6 % au premier semestre 2013, à 4,4 milliards d’euros, par rapport à la même période en 2012. Afin de maintenir leur marge, les opérateurs ont diminué leurs dépenses marketing de 19 %, à 255 millions d’euros en 2012. Comment les acteurs des jeux en ligne ont-ils adapté leur stratégie de communication au sein d’un secteur très concurrentiel ? Comment se différencient-ils ? Quels sont les leviers utilisés pour recruter de nouveaux clients et les fidéliser ? Avec les exemples de la Française des jeux, du PMU et de Bwin, qui représentent à eux trois plus de 22 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2012, Satellinet détaille les enjeux marketing du secteur.
L’ouverture à la concurrence des paris et jeux de hasard en ligne en 2010 a mis fin au monopole de la Française des jeux (FDJ) et du PMU. Cette modification de la loi a donné naissance à l’Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL), qui depuis, a autorisé vingt opérateurs à exploiter 32 agréments sur les secteurs du poker, des paris sportifs et hippiques. Alors que l’année 2012 affichait une croissance du total des mises de 1 % par rapport à 2011 sur le marché des jeux en ligne, à 9,4 mil
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°169
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Lundi 30 septembre 2013