La néo-banque allemande Fidor, rachetée mi-2017 par BPCE, coûte cher au groupe mutualiste, rapporte le journal Les Echos, qui révèle que Fidor a “accumulé un ensemble de placements peu fructueux qui ont été réalisés pour placer les dépôts de ses clients et les rémunérer”. “Il y a eu des pertes sur des placements d’actif-passif (ALM) qu’il a fallu compenser, in fine cela a quasiment doublé le coût d’acquisition de la société !”, témoigne un membre du groupe mutualiste.
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