Arrivés en France dès 2010, les robo-advisors sont venus concurrencer les banques sur le segment du conseil en épargne, avec des parcours digitaux et des tarifs plus attractifs. Si, une décennie plus tard, WeSave, Yomoni ou encore Nalo n’ont attiré qu’une niche d’épargnants (quelques dizaines de milliers selon nos calculs), leur apparition a toutefois provoqué une remise en question du côté des acteurs traditionnels.
Rien qu’en 2017, Apicil a pris une participation minoritaire dans le...