Depuis la mi-2022, les conditions de financement en capital-risque se dégradent pour les start-up, et notamment sur le segment fintech. Les acteurs du venture debt sont l’une des alternatives pour continuer à lever des fonds durant cette période, mais ceux-ci sont aussi devenus plus exigeants. mind Fintech fait le point avec Fatou Diagne, cofondatrice et managing partner de Bootstrap Europe.
Dans cet article
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Bootstrap Europe
financement des entreprises
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Fatou Diagne
Cofondatrice et managing partner Bootstrap Europe depuis mars 2014
Vous avez cofondé Bootstrap Europe en 2015 avec Stephanie Heller. Quel était l’objectif ?
Le venture debt existe aux États-Unis depuis les années 1980. Mais c’est un type d’investissement encore peu développé en Europe, et notamment en France. Il a pourtant un avantage par rapport à l’equity : il n’engendre pas de dilution du capital. C’est pourquoi nous avons eu l’idée de fonder Bootstrap Europe [en 2015, le volume des opérations en venture debt représentait 10 % du marché du capital-risque...
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Article à retrouver dans La lettre mind Fintech n°331
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Jeudi 4 avril 2024
Auteur.e.s de l’article
Caroline Soutarson
Cheffe de rubrique mind Fintech
Depuis 2025, je suis responsable de la rubrique Investissement de mind Fintech.