Les fintech commencent à percer dans le secteur de la finance islamique. Elles se conforment donc à la charia, excluant les produits basés sur un taux d’intérêt fixe et prédéterminé (Riba), l’incertitude ou la spéculation, tout comme les secteurs liés à l’alcool, au tabac, aux paris, etc. “Il y a aujourd’hui une centaine de fintechs charia-compatibles dans le monde. 70% de ces sociétés opèrent dans la fourniture de services financiers (transfert d’argent, paiement, crowdfunding, etc.) et...
Fintech islamiques : un marché conséquent, mais des obstacles au développement
Le marché des fintech islamiques en est encore à ses prémices, mais recèle de nombreuses opportunités de croissance. La clientèle potentielle, de particuliers comme d'institutionnels, est importante, l'appétence pour des services financiers participatifs est significative et les acteurs commencent à se structurer. Restent désormais à surmonter les obstacles liés au manque de financement et à la réglementation.
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