Le business model des néo-banques interroge. Tant est si bien que certains, à l’image de Laurent Nizri, fondateur du cabinet Altéir Consulting, voient dans le secteur “une bulle similaire à celle qui a touché les portails Web dans les années 1990”. Il faut dire que les exemples de modèles rentables et indépendants sont très rares, même chez les précurseurs du secteur. Aux États-Unis, le pionnier Simple a été racheté par BBVA en 2014. L’allemand Fidor a été repris par BPCE en 2016. Et alors...
Les néo-banques réfractaires à la marque blanche affinent leurs paris stratégiques
Tandis que de plus en plus de néo-banques s’orientent vers un rachat ou une commercialisation en marque blanche faute de rentabilité, certaines s’obstinent à ne vendre leur offre qu’en propre, en BtoC et parfois avec une offre pour les entreprises à la marge. Mais le chemin vers la rentabilité s’avère tortueux et des stratégies très différentes apparaissent.
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