Selon une enquête commanditée par ING et menée auprès de consommateurs, plus d'un tiers des répondants européens ne veulent absolument pas utiliser de robo-advisors entièrement automatisés.
Une étude commanditée par ING et menée en mai auprès de 15 000 consommateurs en Europe, aux Etats-Unis et en Australie révèle que les start-up et institutions financières auront sûrement bien du mal à populariser des robo-advisor entièrement automatisés. Seuls 2% des européens se disent prêts à laisser un programme prendre des décisions financières à leur place et 26% dans le cas où ils donneraient toujours leur approbation finale avant qu’une opération ne soit réalisée. 36% des européens...
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