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Accueil > Parcours de soins > Gestion de la data > Un budget initial de 7 M€ nécessaire pour la filière de médecine de précision en oncologie

Un budget initial de 7 M€ nécessaire pour la filière de médecine de précision en oncologie

Annoncée lors de la signature du contrat stratégique de la filière “Industries et technologies de la santé” le 4 février 2019, la création d’une plateforme de convergence de médecine de précision dans le domaine de l’oncologie est portée par l’Institut national du Cancer et l’Ariis. Ce programme public/privé vise à constituer une plateforme de données puis à faire émerger des projets innovants d’ici 2021.

Par Aurélie Dureuil. Publié le 25 février 2019 à 10h06 - Mis à jour le 25 février 2019 à 10h06
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Le contrat stratégique de la filière “Industries et technologies de la santé” signé le 4 février 2019 a identifié “deux cas d’usages” pour de la constitution de “plateformes de convergence” dans le domaine de la médecine personnalisée et de précision. Le premier se concentre sur l’immuno-inflammatoire (projet Hu-PreciMed) et a été lancé fin 2018. Le second, officialisé au CSF, concerne l’oncologie. Il est porté par l’Institut national du cancer (Inca) et l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (Ariis). “Le projet vise à créer une plateforme de données en oncologie unique au monde, afin d’en faire un outil de recherche publique et privée pour l’industrie et le soin”, détaille Marco Fiorini, secrétaire général de l’Ariis. À l’Inca, Philippe-Jean Bousquet, directeur Observation, Sciences des données et Évaluation, ajoute : “Nous avons défini trois livrables qu’il faut conduire de façon convergente”.

Constituer une plateforme de données nationale

Le premier consiste à construire une plateforme de données. “Nous avons déjà un socle avec la plateforme de l’Inca. Elle doit maintenant être développée avec des sources de données supplémentaires : issues des acteurs publics comme le registre des cancer, de génétique moléculaire et venant des industriels comme celles des essais cliniques, des observatoires… Il s’agit d’un enrichissement mutuel”, détaille Philippe-Jean Bousquet. La deuxième partie du programme vise à “faire émerger des projets innovants. Il est important d’avoir un dialogue avec l’ensemble des acteurs : la vision des industriels qui développent les médicaments et nous pour identifier les manques dans certaines populations, certains secteurs…”, ajoute le directeur Observation, Sciences des données et Évaluation de l’Inca qui estime possible de mener les premiers POC à partir de la plateforme existante de l’institut. Le dernier livrable sera consacré à “renforcer la cohérence et valoriser l’ensemble de la démarche, notamment à l’international”, précise-t-il. Marco Fiorini souligne également : “Dès son origine, cet outil est pensé comme un projet qui sera harmonisé à la démarche portée par le Health data hub”.

Un budget encore en discussion

La première phase du programme se déroulera entre 2019 et 2021 avec la mise en place de la plateforme, confie Philippe-Jean Bousquet. Avant de préciser le budget envisagé : “pour constituer le socle, l’investissement est de 7 M€. Cela signifie de travailler sur le système d’information, de l’alimenter, de mettre la donnée au bon format… Il faudra compter ensuite 2 M€ par an pour l’entretenir”. Le directeur des Sciences des données de l’Inca souligne également que tous les budgets ne sont pas encore actés, ni la répartition des coûts. “Mais la volonté de l’Ariis et de l’Inca est de se répartir les missions et de les adapter afin de travailler en synergie”, conclut-il.

Les partenaires de ce programme public/privé
Pour ce programme, le seul partenaire académique est l’Inca. Du côté des acteurs privés, des laboratoires pharmaceutiques sont impliqués : Abbvie, Amgen, AstraZeneca, Boehringer Ingelheim, Bristol Myers Squibb, Guerbet, Institut Roche / Roche, Ipsen, Janssen, Merck KGaA, Merck Sharp & Dohme, Novartis, Pfizer, Pierre Fabre, Sanofi, Servier. Ils sont rejoints par d’autres acteurs privés : Dassault, IQVia, Orange Healthcare ainsi que Malakoff Médéric Humanis.
Aurélie Dureuil
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