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Accueil > Financement et politiques publiques > Organisation métier > 44 % des femmes généralistes s’informent d’abord en ligne

44 % des femmes généralistes s’informent d’abord en ligne

Les femmes généralistes ont majoritairement intégré le digital dans leur pratique quotidienne, selon une étude de la Fédération nationale de l’information médicale. À l’inverse de leurs confrères masculins.

Par . Publié le 10 décembre 2018 à 10h52 - Mis à jour le 10 décembre 2018 à 10h52
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Une étude menée par BVA pour la Fédération nationale de l’information médicale (Fnim) avec le soutien du Syndicat de la presse et de l’édition des professions de santé (Speps) s’est penchée sur les sources d’information des médecins, à savoir 95 généralistes et 117 spécialistes. Et, d’emblée, quand il leur est demandé de citer leurs trois principales sources d’information, les généralistes femmes répondent à 44 % les sites Internet des autorités de santé, à 36 % la documentation Vidal et les bases de données, à 31 % les sites internet spécialisés en santé ou réservés aux professionnels de santé (autres que ceux des laboratoires), juste devant les congrès et colloques et la presse médicale de formation. Les généralistes hommes affichent de tout autres pratiques : 48 % d’entre eux citent d’abord la visite médicale en face à face (contre 19 % des femmes), 37 % le Vidal, 35 % la presse médicale d’information (contre 4 % des femmes) et 33 % la presse médicale de formation. Ils ne sont que 18 % à utiliser les sites Internet des autorités.

Les femmes majoritaires chez les MG de moins de 45 ans

Autre preuve, selon la Fnim, de la “montée en puissance des sources d’information digitales chez les généralistes femmes”, elles citent à 32 % le support digital comme premier canal par lequel elles ont entendu parler pour la dernière fois d’une innovation. Leurs confrères masculins ne sont que 10 % dans ce cas. Quant aux “émetteurs des informations médicales qui ont permis de faire évoluer la pratique”, 35 % des femmes indiquent un support digital contre 18 % des hommes. Un distinguo clair que la Fnim commente en ces termes : “les nouveaux usages seront avant tout sous l’influence des femmes (…). Ces résultats doivent être mis dans le contexte de féminisation de la population des médecins généralistes (MG), désormais majoritaires chez les moins de 45 ans.” À ce titre, la Fnim indique dans son étude que plus les médecins sont jeunes, plus la part des supports digitaux sur la totalité des informations lues au quotidien augmente : elle passe de 48 % chez les 55 ans et plus à 69 % chez les moins de 35 ans.

En revanche, l’enquête ne précise pas ce qu’il en est pour les médecins spécialistes : le digital est-il devenu aussi présent dans la pratique de ces femmes ?

 

Les femmes généralistes citent bien davantage le digital comme outil d’information que leurs confrères masculins. 
Source : Étude Fnim-BVA-Speps, décembre 2018.

 

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