Depuis 2016, les complémentaires santé sont tenues, pour pouvoir accéder au Système national des données de santé, soit de prouver qu’elles ne pourront utiliser les données pour moduler leurs tarifs ou leurs garanties, soit de passer par un bureau d’études qui réalisera le traitement pour elles et s’engage à respecter des mesures de confidentialité. mind Health a interrogé cinq de ces structures et dresse le portrait d’un marché encore balbutiant.
La loi Santé de 2016, portée par Marisol Touraine, a mis en oeuvre le Système national des données de santé (SNDS) et l’a ouvert aux structures privées sous certaines conditions. Que le demandeur soit public ou privé, le projet d’étude doit présenter un intérêt public et être soumis à l’Institut national des données de santé (INDS), guichet unique des demandes d’accès au SNDS. L’INDS fournit un avis à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) sur la cohérence entre la...
Vous lisez cet article grâce à votre abonnement à mind Health.
Explorez de nouveaux horizons en consultant nos autres verticales :
Vous avez une information à nous partager ?
Article à retrouver dans La lettre mind Health n°78
Chaque mois, retrouvez l'essentiel de nos articles
Mercredi 16 octobre 2019