Accueil > Financement et politiques publiques > Organisation métier > En cas de difficulté d’accès aux soins, la téléconsultation n’est pas vue comme une solution prioritaire En cas de difficulté d’accès aux soins, la téléconsultation n’est pas vue comme une solution prioritaire Par Antoine Duroyon. Publié le 07 décembre 2018 à 17h05 - Mis à jour le 07 décembre 2018 à 17h05 Ressources Alors que la téléconsultation est entrée dans le droit commun à la mi-septembre, les Français ne la perçoivent pas encore comme une solution idéale. Selon une enquête Harris Interactive pour le compte d’AG2R La Mondiale, la téléconsultation (dans des conditions techniquement sécurisées et permettant de recevoir une ordonnance) est citée par 16 % des 1 000 Français interrogés comme une solution prioritaire dans le cas d’une difficulté d’accès au soin (délai d’attente trop long pour une consultation pour une affection de type angine, otite ou rhinopharyngite). L’automédication est mentionnée comme la solution privilégiée par 44 % des sondés, devant l’attente d’un rendez-vous chez son médecin habituel (31 % des répondants) et l’intervention d’un médecin au domicile (18 % des personnes interrogées). Les dispositifs d’e-santé sont perçus positivement par une majorité de Français dans le cas de maladies chroniques. C’est notamment le cas d’un système d’alerte des proches (vu comme utile par 91 % des participants), de l’accès centralisé au dossier médical pour les professionels de santé (90 %), des objets connectés pour suivre sa santé et ses traitements (78 %) ou de plateformes d’échanges en ligne (70 %). Antoine Duroyon EtudeMutuelletéléconsultationTélémédecine Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind