Accueil > Industrie > Stratégie > Google généralise son API sur la gestion du consentement Google généralise son API sur la gestion du consentement Par Aurélie Dureuil. Publié le 12 mars 2021 à 16h05 - Mis à jour le 12 mars 2021 à 16h05 Ressources Le géant américain a annoncé le 9 mars 2021 la généralisation de son API de gestion des consentements sur l’utilisation des données de santé. Dans un post de blog, Jameson Rogers, product manager de Google Cloud Healthcare & Life Sciences, rappelle que l’API permet aux développeurs d’applications de soins de santé et aux chercheurs dans le domaine clinique de gérer le consentement. Il souligne que les premiers utilisateurs de l’API dont une première version a été mise à disposition en octobre 2020 ont “créé des portails personnalisés pour les patients, intégré en toute sécurité des données dans des flux de travail cliniques basés sur le consentement des patients et développé des essais cliniques virtuels”. À noter : En novembre 2020, Google Cloud a déjà présenté deux outils dédiés au secteur de la santé – Healthcare Natural Language API et AutoML Entity Extraction – et, en décembre, Google Health a dévoilé son application pour le recrutement des patients pour la recherche clinique. En février 2021, une base de données sur la COVID-19, à laquelle a participé le GAFAM, a été mise à disposition. Aurélie Dureuil big dataDonnées de santéGAFAM Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Une base de données internationale sur la COVID-19 mise en ligne par Google Google autorisé par la Commission européenne à s'offrir Fitbit R&D : partenariat entre Boehringer Ingelheim et Google Google investit 150 M$ pour promouvoir l'accès à la vaccination contre la COVID-19 IA : l'Institut Curie et Google initient un programme de recherche conjoint Google Cloud dévoile deux outils pour le secteur de la santé Radiothérapie : Google et la Mayo Clinic planchent sur un algorithme d'automatisation des stratégies thérapeutiques Google Cloud signe un 2e contrat avec le gouvernement américain, cette fois en e-santé