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Accueil > Parcours de soins > EXCLUSIF – Le bilan 2019-2021 de la téléconsultation en France

EXCLUSIF – Le bilan 2019-2021 de la téléconsultation en France

Pour mind Health, le GERS Data a conçu un baromètre exclusif pour quantifier et qualifier l’usage de la téléconsultation en France. Avec deux ans de recul, quels enseignements tirer ? Quels médecins, généralistes et spécialistes, ont recours à la téléconsultation ? Les trois points à retenir, avec Baptiste Mortgat, directeur marketing de GERS Data.

Par Sandrine Cochard avec Aymeric Marolleau. Publié le 31 janvier 2022 à 10h57 - Mis à jour le 02 février 2022 à 9h25
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Depuis le début de la pandémie de Covid-19, la téléconsultation est entrée dans les mœurs et (presque) dans les habitudes. Si nous sommes aujourd’hui loin des niveaux du printemps 2019, période à laquelle le recours à la téléconsultation avait explosé en raison notamment du premier confinement, l’usage de la téléconsultation se stabilise depuis le mois d’août 2021, comme le révèle notre baromètre exclusif réalisé par GERS Data et portant sur la période 2019-2021.

L’évolution de la téléconsultation en France

La téléconsultation a trouvé son point d’équilibre

Premier des enseignements-clé de ce bilan 2019-2021, la stabilisation du niveau de téléconsultation. “Cela fait plusieurs mois que l’on observe un équilibre C’est notamment le cas chez les généralistes mais aussi sur la plupart des spécialistes”, souligne ainsi Baptiste Mortgat, directeur marketing de GERS Data. Depuis septembre 2021, l’activité des médecins est revenue à un niveau stable à la fois dans l’activité et à la fois dans le nombre de téléconsultations. Chez les médecins généralistes, cet équilibre se situe entre 3 et 4% de téléconsultation.

La fin de l’année 2021 a été marquée par une légère hausse des téléconsultations, mais ce phénomène est davantage dû au contexte, "marqué notamment par la 5ème vague de Covid et le variant Omicron" tempère Baptiste Mortgat.

Les usages varient fortement d’une spécialité à l’autre

Comme l’avaient déjà démontré les précédents baromètres mind Health-GERS Data, l’usage de la téléconsultation est fortement corrélé à certaines spécialités. Les données compilées sur deux ans confirment cette tendance. “Chez les médecins spécialistes, on note de vrais adoptants tels que les psychiatres, qui peuvent plus facilement prendre en charge leurs patients à distance. La téléconsultation est vue comme un outil de facilitation et continue à être utilisée de manière régulière." Les psychiatres sont ainsi les premiers adoptants de la téléconsultation, avec un taux stabilisé entre 9 et 11%, suivis par les pédiatres (4 à 6%) et les endocrinologues (4 à 6%).

Par ailleurs, la part des téléconsultations s’est stabilisée en 2021 (par rapport au nombre de consultations totales). Soulignons également que le taux de praticiens ayant essayé au moins une fois la téléconsultation sont, sans surprise, ceux pour lesquels le taux d’adoption est le plus fort aujourd’hui. Ainsi, les cardiologues, qui nécessitent de suivre leurs patients en présentiel, ont peu recouru à la téléconsultation..

Le rôle de l’âge des médecins et la taille de leur patientèle

L’usage de la téléconsultation varie également en fonction de l’âge des médecins, avec une adoption plus nette chez les médecins âgés de 40 ans et moins. Pour Baptiste Mortgat, cette tendance de fond annonce une “augmentation naturelle” de la téléconsultation dans les années à venir, à mesure que les médecins plus âgés prendront leur retraite et seront remplacés par des plus jeunes au profil plus technophile.

Une autre variable mise en exergue par le baromètre GERS Data pour mind Health est la taille de la patientèle. Les médecins avec de grosses patientèles recourent davantage à la téléconsultation. En outre, parmi les médecins qui téléconsultent, ceux qui gèrent une grosse patientèle ont non seulement tendance à plus téléconsulter, mais ils ont également tendance à recourir plus fréquemment à la téléconsultation, avec un niveau d’adoption élevé.

Dans le détail, parmi les 50 000 médecins qui téléconsultent, 12% des médecins (avec de grosses patientèles) comptent pour 50% de la téléconsultation, 21% qui pèsent pour les 30% suivants et 67% qui font 20% des TLC.

Sandrine Cochard avec Aymeric Marolleau
  • cardiologie
  • médecin
  • pédiatrie
  • Psychiatrie
  • téléconsultation
  • Télémédecine

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