Accueil > Parcours de soins > Gestion de la data > IA et big data, technologies les plus disruptives en 2021 IA et big data, technologies les plus disruptives en 2021 Un sondage de l’entreprise d’analyse des tendances GlobalData prédit la prédominance d’ici 2021 de l’intelligence artificielle et du big data parmi les technologies les plus disruptives dans l’industrie pharmaceutique. Par . Publié le 13 décembre 2019 à 16h57 - Mis à jour le 13 décembre 2019 à 16h57 Ressources Interrogés par le cabinet d’études GlobalData, 82 cadres internationaux de l’industrie pharmaceutique ont estimé quelles seraient les technologies les plus disruptives du secteur entre 2019 et 2021. La majorité, 39 %, a opté pour l’intelligence artificielle (IA). Alors que le big data rafle la seconde place avec 23 % des votes. Les autres technologies étaient quant à elles moins populaires : seulement 6 % des répondants misent sur les plateformes numériques, 4 % sont confiants en la cybersécurité, idem pour les objets connectés, et 3 % trouvent leur compte dans le cloud computing et la blockchain… Source : GlobalData, rapport “Digital Transformations and Emerging Technologies in the Healthcare Industry – 2019” L’IA trouve son application dans la découverte des médicaments, notamment. “Cependant, l’adoption de l’IA en est à ses premières phases, souligne dans le communiqué Urte Jakimaviciute, directrice senior des études de marché chez GlobalData. Il faut encore du temps à l’IA pour produire des résultats tangibles, puisque cela nécessite des expérimentations par tâtonnement. Et bien qu’aucun médicament généré grâce à l’IA ne soit arrivé sur le marché, l’IA a fait ses preuves dans le diagnostic en imagerie et dans la radiothérapie.” Sur la place de l’IA dans la chaîne de valeur pharmaceutique, la directrice se pose les questions “comment, quand, et à quel prix ?”. Plus tôt cette année, la société de capital-risque américaine Venrock a publié les résultats d’un sondage réalisé auprès de 265 acteurs positionnés sur le secteur de la santé : 39 % des sondés attribuaient à l’IA un intérêt marginal et 53 % attendaient encore des résultats probants. À titre de comparaison, la blockchain s’en tirait plus mal : 7 % des répondants ont déclaré ne pas la connaître et 75 % avaient du mal à y trouver une utilité. big dataEtudeIntelligence Artificielle Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind