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Accueil > Parcours de soins > Kap Code, Better World et Yakadir font parler les données qualitatives des patients

Kap Code, Better World et Yakadir font parler les données qualitatives des patients

Les start-up Kap Code, Better World et Yakadir lancent le premier observatoire commun du ressenti patient. A l’occasion de SantExpo, mind Health a rencontré Daniel Ritter, président et cofondateur de Better World, Adel Mebarki, cofondateur et directeur général de Kap Code, et Philippe Mougin, président et fondateur de Yakadir, pour détailler les ambitions de ce projet. 

Par Clarisse Treilles. Publié le 23 mai 2023 à 14h47 - Mis à jour le 23 mai 2023 à 16h23
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Kap Code, Yakadir et Better World ont annoncé ce mardi 23 mai le lancement d’un observatoire commun sur le ressenti des patients, dont les premiers résultats sur l’expression et du ressenti des patients sont dès à présent disponibles. Ils sont basés sur près de 700 000 verbatims issus de plus de 200 000 patients depuis janvier 2022.

Le projet est né d’une réflexion commune entre ces trois start-up, spécialisées dans l’analyse du langage naturel aux expertises et approches complémentaires. Tandis que Better World axe son approche sur l’expérience patient en milieu hospitalier, Yakadir se concentre davantage sur la médecine de ville à travers son application ouverte au public, et Kap Code travaille sur les données de masse en provenance de forums en ligne et des réseaux sociaux. 

Si ces trois start-up travaillent sur le traitement automatique du langage, la différence, selon Adel Mebarki, se situe au niveau des lexiques sémantiques mobilisés, qui découlent des lieux où la parole va être recueillie. “Sur les réseaux sociaux par exemple, les patients vont employer un lexique particulier, différent de celui que l’on retrouve généralement dans les questionnaires en milieu hospitalier” dit-il.

Pour Philippe Mougin, les différences vont aussi se situer entre la ville et l’hôpital au niveau des expériences vécues : “En ville on retrouve des irritants très spécifiques comme l’absence de parkings à proximité des cabinets, le coût des transports ou encore les délais de prises de rendez-vous” souligne-t-il.

Calculer un taux de satisfaction

Avec cet observatoire, les trois acteurs souhaitent unir leurs forces au service de thématiques communes. Les premiers résultats publiés rendent compte à un instant T de ce qu’expriment spontanément les patients sur leur rapport à la maladie et à l’organisation du système de santé français. Du point de vue de la méthodologie employée, l’outil “sentiment analysis”, permet “d’évaluer sur une base 100 le niveau de satisfaction générale exprimé par les patients sur un sujet donné”, rapporte le communiqué de presse. Plus un chiffre est bas, plus il reflète un taux d’insatisfaction élevé. 

Quels sont les enseignements à retenir de ce premier observatoire ? Les résultats laissent apparaître, entre autres, une plus forte compassion pour les soignants hospitaliers que pour les soignants en ville et les administratifs. Par ailleurs, l’observatoire donne à voir le poids des discriminations dans les parcours de soins – des discriminations qui reposent essentiellement sur trois facteurs, à savoir l’âge, le genre et le lieu. “Cela change les demandes et la perception des besoins”, précise Philippe Mougin.

Selon Daniel Ritter, cette approche qualitative grâce à l’IA doit être valorisée, car l’analyse des verbatims permet d’aller vers plus de finesse qu’une approche purement quantitative : “Ce n’est pas la même chose de donner une note de 0 à 10 sur un sujet et de recueillir un commentaire rédigé par un patient. Le commentaire va donner plus de détails sur ce qui va, ce qui ne va pas et ce qui doit être amélioré” soutient-il.

Clarisse Treilles
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