• Contenus gratuits
  • Notre offre
Menu
  • Ressources
    • Toutes les ressources
  • Infos
    • Toutes les infos
  • Essentiels
    • Tous les essentiels
  • Analyses
    • Toutes les analyses
  • Data
    • Data
  • Newsletters
  • Profil
    • Je teste 15 jours
    • Je me connecte
  • Profil
    • Mon profil
    • Je me déconnecte
CLOSE

Accueil > Parcours de soins > Le nouveau Directoire de l’Institut Curie présente ses priorités stratégiques

Le nouveau Directoire de l’Institut Curie présente ses priorités stratégiques

Ayant pris ses fonctions le 25 mai dernier, le président du Directoire de l'Institut Curie, le Pr Alain Puisieux, a présenté le 12 septembre les grands axes de sa feuille de route du centre de lutte contre le cancer (CLCC), qui s’inscrit dans le cadre du plan stratégique Curie 2030. 

Par Romain Bonfillon. Publié le 20 septembre 2024 à 9h58 - Mis à jour le 20 septembre 2024 à 9h58
  • Ressources

Selon de récentes données de l’OMS (février 2024), plus de 35 millions de nouveaux cas de cancer devraient être enregistrés en 2050, soit une augmentation de 77 % par rapport aux 20 millions de cas estimés en 2022. “Il est illusoire d’imaginer éradiquer le cancer. On peut en revanche transformer radicalement son impact en termes de santé publique dans l’avenir”, estime le Pr Alain Puisieux qui rappelle qu’on peut aujourd’hui guérir plus de 65 % des cancers, contre moins de 50 % dans les années 1970”.  Voici les principaux axes de la feuille de route stratégique du nouveau Directoire de l’Institut Curie : 

Une approche pluridisciplinaire

Derrière sa volonté annoncée de construire “un monde sans cancers incurables”, le Directoire de l’Institut Curie affiche son ambition de rassembler “toutes les disciplines contre le cancer”. Cette dernière est illustrée par la composition même du Directoire, qui, autour du Pr Alain Puisieux , rassemble Coralie Chevallier, docteur en sciences cognitives, directrice de recherche Inserm à l’école normale supérieure (ENS-PSL) et ancienne vice-présidente formation de l’Université PSL) et Eric Nicolas, président de WiseStratEdge Consulting, docteur en sciences économiques ayant fait carrière dans la banque, l’industrie automobile et la chimie spécialisée.

Attirer les nouveaux talents et les fidéliser

Le projet social Curie 2030, rappelle le Pr Puisieux, “marque une volonté collective de placer les conditions et la qualité de vie au travail de ses salariés au cœur de la stratégie, et d’en faire ainsi un vecteur majeur de sa politique d’attractivité et de fidélisation.”

Mieux prévenir

L’Institut Curie compte prochainement déployer un “large programme de prévention” qui couvrira non seulement les questions médicales essentielles mais qui intégrera également différentes facettes de la prévention, comme la recherche sur les origines de la survenue des cancers, la prévention des rechutes et des effets secondaires des traitements. 

L’optimisation continue des plateformes

Afin de garantir la qualité de ses activités de recherche et de soins, l’Institut investira 10 M€ au cours des 4 prochaines années “sur les technologies les plus innovantes dans les domaines de l’imagerie, des approches en cellules uniques et des analyses dites spatiales pour contribuer à une caractérisation approfondie de la tumeur et de son environnement”.

Aussi, le CLCC entend poursuivre le développement de ses outils théranostiques (qui utilisent un test diagnostique, identifiant un marqueur, pour orienter la thérapeutique du patient). Un programme de 56 M€ a été lancé il y a deux ans pour moderniser la plateforme de radiothérapie. “Concrètement, une IRM de type Linac sera ouverte en 2025, alors que la protonthérapie, qui est une des caractéristiques de l’Institut Curie, fera l’objet d’un investissement massif”, annonce l’Institut. 

L’IA, à tous les étages

L’intelligence artificielle (IA), rappelle enfin le Pr Puisieux, investit tous les champs d’activité de l’établissement : 

  • la prédiction des risques (avec l’identification de nouveaux biomarqueurs pour permettre de futurs tests prédictifs) ; 
  • le diagnostic et le pronostic (au travers des derniers équipements d’imagerie et de pathologie numérique) ; 
  • la personnalisation des traitements (à partir des données des patients pour permettre la prise en charge la plus adaptée) ;
  • la découverte de futurs traitements (les données multiomiques, multi-échelles et multimodales permettent d’explorer des molécules inédites).
Romain Bonfillon
  • cancer
  • oncologie
  • Plateformes
  • Stratégie

Besoin d’informations complémentaires ?

Contactez Mind Research

le service d’études à la demande de mind

Découvrez nos contenus gratuitement et sans engagement pendant 15 jours J'en profite
  • Le groupe mind
  • Notre histoire
  • Notre équipe
  • Nos clients
  • Nous contacter
  • Nos services
  • mind Media
  • mind Fintech
  • mind Health
  • mind Rh
  • mind Retail
  • mind Research
  • Les clubs
  • mind et vous
  • Présentation
  • Nous contacter
  • Vous abonner
  • A savoir
  • Mentions légales
  • CGU
  • CGV
  • CGV publicité
  • Politique des cookies
Tous droits réservés - Frontline MEDIA 2025
  • Twitter
  • LinkedIn
  • Email