L’essor des sites de propagande, notamment ceux appelant à la haine ou aux contenus douteux, poussent certains annonceurs à s’intéresser de près aux sites sur lesquels sont diffusées leurs campagnes publicitaires et à affiner la liste noire des sites bannis. Mais sur quels critères se basent ces listes ?
Interrogée par Digiday mardi 28 février, l’agence média britannique indépendante Mediasmith explique qu’elle se base sur une liste créée par une professeure du Massachussett’s Mettimack College
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°326
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Lundi 6 mars 2017