Alors que les grandes plateformes ont été pointées du doigt pour leur rôle dans la diffusion de fausses informations depuis les élections présidentielles américaines, plusieurs éditeurs anglo-saxons viennent d’adopter des mesures pour tenter d’endiguer le problème.
Le Wall Street Journal indique en effet jeudi 16 novembre que lui-même, The Economist, The Globe and Mail, The Independant Journal Review, Mic, et Trinity Morror, notamment, ont accepté de mettre en place le dispositif inventé par le consortium The Trust Project, qui compte 75 membres. Huit indicateurs de confiance leur permettront de mieux qualifier leurs contenus : l’auteur d’un article, la raison de son écriture, la méthode d’enquête, et s’il s’agit d’information, d’opinion ou de contenu sponsorisé.
Ces indicateurs seront signalés aux lecteurs sur les pages des éditeurs, mais aussi sur les grandes plateformes. Google, Facebook et Twitter soutiennent l’initiative et ont indiqué qu’ils prévoient de présenter ces informations à leurs utilisateurs. Google, par exemple, pourrait l’afficher sous forme de label dans Google News.
Des éditeurs veulent mieux qualifier leurs contenus pour lutter contre les fake news
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Lundi 20 novembre 2017
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