D’après une enquête du site 404media publiée le 5 août, basée sur des documents et des conversations internes obtenus par le média, Nvidia aurait scrapé des milliers d’heures de vidéos provenant de YouTube et Netflix, notamment, pour entraîner un modèle de fondation vidéo (qui n’a pas encore été mis sur le marché). Nvidia affirme être resté dans « l’esprit et la lettre » de la loi sur le copyright, et assimile cette pratique au droit d’une personne à « apprendre des faits, des idées, des donnée
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°665
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Lundi 2 septembre 2024
Auteur.e.s de l’article
Raphaële Karayan
Rédactrice en chef mind Media
Rédactrice en chef de mind Media, responsable de la rubrique Marques et agences