La pression s’accentue encore sur les cookies. Jeudi 19 octobre, la commission responsable des libertés civiles au Parlement européen a approuvé le projet de règlement ePrivacy, dernière étape avant sa discussion en session plénière. Il prévoit en particulier que les sociétés présentes en Europe devront recueillir le consentement explicite des utilisateurs pour déposer des cookies et leur fournir des opt-out clairs.
Digiday présente mardi 31 octobre les acteurs qui ont le plus à y perdre. Si le texte était voté en l’état, les acteurs de la publicité comportementale et les retargeters devraient par exemple obtenir un consentement pour chaque cookie déposé. Cela freinerait aussi la capacité de Google et Facebook à collecter et utiliser des données consommateurs depuis leurs services tiers, WhatsApp, Gmail et Messenger. Les cookies tierce-partie sont particulièrement visés par ePrivacy, car jugés très intrusifs. A contrario, les univers logués sont épargnés. Les cookies qui n’ont pas de visée publicitaire, comme ceux utilisés par les éditeurs dans les tests A/B qu’ils mènent pour améliorer l’expérience utilisateur sur leurs sites, sont aussi menacés.
Qui seront les perdants du règlement ePrivacy ?
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°357
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Lundi 6 novembre 2017
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