La diminution de la visibilité naturelle sur Facebook n'est pas nécessairement une mauvaise chose pour les médias et les annonceurs ; les algorithmes des plateformes changent sans cesse et les plateformes elles-mêmes évoluent : les marques doivent maintenant mieux réfléchir aux raisons qui poussent un individu à les suivre et à interagir sur Facebook, estime Sandrine Plasseraud, fondatrice et présidente de We Are Social France.
Alors que le reach des pages ne cesse de baisser depuis des années, Mark Zuckerberg a semé la panique, début 2018, auprès des annonceurs et autres marques médias en annonçant sa volonté de favoriser à nouveau les interactions entre les individus au détriment des pages de marques et médias. Ces derniers, c’est sûr, n’auront plus d’autre choix que de médiatiser la moindre de leur prise de parole pour être visibles…
Et pourtant, le sujet est beaucoup plus complexe qu’une simple volonté du réseau so
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Lundi 19 février 2018