Faut-il héberger ses données et ses opérations en interne ou via la puissance de calcul de prestataires externes ? La question se pose aussi bien pour des raisons de coût, d’efficacité que de préservation des données sensibles des acteurs financiers. Tour d’horizon des possibilités et des stratégies adoptées par les banques en matière de cloud.
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En 2013, l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP, devenue depuis ACPR) a publié un document intitulé “les risques associés au cloud computing”. Elle y définit l’informatique en nuage comme l’activité consistant “à déporter sur des serveurs distants des données et des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux voire sur le poste de l’utilisateur. Il permet l’accès via le réseau, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques virtualisées...
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