La start-up londonienne, qui travaille avec BPCE sur la version française de Fidor Bank, donne de la valeur aux données bancaires en combinant des outils de catégorisation et de coaching financier (comme les français Linxo ou Bankin’) mais aussi en mettant en place des programmes de fidélisation en lien avec des réseaux de commerçants. Son CEO, Georg Ludviksson, décrypte pour mind Fintech le fonctionnement de la technologie.
Dans cet article
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Meniga
En France, les acteurs qui ont développé une technologie de PFM ne sont pas les mêmes que ceux capables d’opérer des programmes de fidélité avec des commerçants. Pourquoi vous positionnez-vous les deux créneaux ?
Ce qui a commencé comme un PFM a évolué vers la construction de blocs pour aider les acteurs traditionnels à créer une banque mobile nouvelle génération. Nous offrons donc des outils pour mieux comprendre son budget et catégoriser ses dépenses,mais nous utilisons aussi les données...
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