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Accueil > Financement et politiques publiques > Organisation métier > Prochain rendez-vous du Conseil du numérique en santé le 20 février 2020

Prochain rendez-vous du Conseil du numérique en santé le 20 février 2020

L’instance mise en place dans le cadre de la feuille de route du numérique en santé s’est réunie fin juin 2019. Cette réunion inaugurale a permis d’exposer ses objectifs et débattre des actions à venir mais aussi de mettre en place des groupes de travail. La prochaine session a été fixée au 20 février 2020.

Par Aurélie Dureuil. Publié le 25 octobre 2019 à 17h34 - Mis à jour le 25 octobre 2019 à 17h34
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Près d’une centaine de personnes ont participé à la première réunion du Conseil du numérique en santé (CNS). Le compte-rendu de cette session qui s’est tenue le 27 juin 2019 à Paris a été publié par l’Asip santé fin octobre. Voulue dans l’orientation Gouvernance de la feuille de route du numérique en santé dévoilée en avril 2019, cette instance est pilotée par la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS), codirigée par Dominique Pon et Laura Létourneau. 

Pour cette première réunion, Dominique Pon a affiché les objectifs de “partager sur le fond, sur la feuille de route, au-delà des grandes lignes fixées par la ministre chargée de la Santé, mais aussi sur la manière dont les parties prenantes de la e-santé en France envisagent que cette instance de concertation et de débat autour de la stratégie de transformation numérique doit fonctionner”. En septembre 2019, il avait confié dans un entretien avec mind Health avoir “été ravi de voir l’engagement de l’institutionnel mais aussi de tout l’écosystème”. Et ainsi, après un exposé de la feuille de route, le débat a été ouvert avec les 95 participants, représentants institutionnels, des organisations professionnels mais également industriels, start-up et établissements hospitaliers. Dominique Pon indiquait également : “Nous souhaitons ce conseil très ouvert. Il y a une quote part des participants qui est ouverte afin qu’ils puissent évoluer d’une session à l’autre”.

Un manque sur le sujet de la formation

Au cours des échanges, si les efforts de la stratégie nationale ont été salués, la question de la formation est revenue fréquemment. Ainsi, Carlos Jaime, directeur général d’InterSystems et président de la commission Santé numérique de Medicen, a souligné “le problème de la formation, singulièrement absent de l’exposé qui vient d’avoir lieu, notamment celle des dirigeants des hôpitaux et des directions informatiques, ainsi que la difficulté à recruter de bons profils pour accompagner les projets de transformation numérique”. Directeur général du Catel, Pierre Traineau a également pointé : “les aspects formation, accompagnement méthodologiques et accompagnement du changement semblent faire défaut”. Dominique Le Guludec, présidente de la Haute Autorité de santé a, elle aussi, invité les pilotes de la feuille de route “à porter la plus grande attention à l’accompagnement des usagers et des professionnels ainsi qu’aux aspects de formation, qui doivent s’inscrire dans le cadre plus vaste d’une réflexion collective sur l’évolution des métiers de santé, car le numérique est de nature à faire évoluer très fortement les pratiques”. Face à ces questions, Dominique Pon s’est déclaré conscient “du problème. La stratégie de transformation du système de santé compte un chantier relatif à la formation, qu’il conviendrait effectivement de mieux articuler avec la formation au numérique”. Laura Létourneau a précisé : “la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) a mené un chantier sur l’évolution liée au numérique des métiers, recouvrant le domaine de la santé, en particulier le travail des infirmiers. De plus, la Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de communication (DINSIC) travaille aux aspects de formation et d’attraction des talents numériques dans la fonction publique. Des dérogations sont d’ailleurs accordées pour recruter les profils idoines”.

La réunion a été également l’occasion de soulever d’autres questions sur les modalités de mise en oeuvre des 26 actions de la feuille de route mais aussi la prise en compte des initiatives européennes et mondiales. Comme l’a indiqué Armelle Garciet du Snitem estimant “qu’il faudrait prêter attention à ce qui existe déjà au niveau européen sur ces sujets, pour éviter toute redondance ou contradiction avec ce qui sera décidé au plan national”. Une vigilance portée également par Michel Ballereau, délégué général de la FHP et président du Comité stratégique en santé et action sociale d’Afnor normalisation qui a regretté “que que le débat sur les normes ne s’inscrive aucunement dans le paysage européen et international”.

A la suite de ces discussions, il a été proposé de créer quatre groupes de travail supplémentaires, portant sur la formation, la fracture numérique, l’évaluation et de développement économique en France et à l’international des entreprises françaises. Après la désignation d’un pilote pour chacun, ils devaient être constitués en octobre (l’appel à candidatures ayant été ouvert jusqu’au 18 octobre). Enfin, rendez-vous a été donné le 20 février 2020 pour la prochaine réunion du CNS.

 

Six groupes de travail pour la cellule d’éthique du numérique en santé
Suite à la réunion du CNS de juin 2019, la cellule d’éthique du numérique en santé, pilotée par Brigitte Seroussi, a présenté ses six groupes de travail. Ils porteront sur la constitution d’un film d’animation de sensibilisation grand public à l’éthique du numérique en santé à destination des patients-citoyens, le développement d’un outil en ligne d’autoévaluation éthique du numérique à destination des hôpitaux, la publication d’un guide pratique « ethics by design en IA » à destination des start-ups et industriels de la e-santé, la rédaction d’un code de e-déontologie médicale, l’organisation en région d’une journée thématique « Éthique, Numérique et Santé » et la production d’un livrable autour du thème Développement durable & Numérique. Les pilotes des cinq premiers chantiers ont été publiés ainsi que le calendrier de livraison s’étendant de décembre 2019 à juillet 2020.
Aurélie Dureuil
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