Il y a encore quelques mois, professionnels de santé et patients restaient mesurés quant à l’utilisation des outils d’e-santé. La situation actuelle a balayé l’argumentaire au terme duquel ces dispositifs n’avaient pas fait leur preuve. Nécessité – mais surtout arrêté et communiqué ministériels – faisant loi, ils sont désormais plébiscités.
Les textes ont ainsi libéralisé la téléconsultation, prévoyant une prise en charge indépendamment d’une partie des dispositions de l’avenant 6 à la convention Assurance Maladie / Médecins, et autorisé les actes de télésoin, profession par profession, malgré l’absence de cadre juridique en « droit commun ». Le ministre de la Santé est allé plus loin, en autorisant le recours à des solutions n’étant pas sécurisées et, dans certains cas, la facturation à l’assurance maladie des...
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Mercredi 29 avril 2020