La stratégie nationale sur l’utilisation secondaire des données de santé, la première du genre, est largement inspirée des constats et propositions du rapport de Jérôme Marchand-Arvier, paru en janvier dernier. Son objectif est de co-construire une “trajectoire commune, cohérente et ambitieuse”, dans un domaine encore trop dominé par les initiatives éparses, le manque de coordination et de lisibilité.
Co-construite avec l’ensemble des acteurs publics concernés – la DNS, la Drees, la DGRI, le...