Accueil > Financement et politiques publiques > 230 solutions enregistrées dans l’outil en ligne Convergence 230 solutions enregistrées dans l’outil en ligne Convergence L’outil en ligne Convergence, prévu par la feuille de route gouvernementale du numérique en santé, fait l'objet d'un premier bilan par l'Agence du numérique en santé dans lequel elle souligne le "fort taux de maturité" globale des industriels. 278 s'y sont inscrits et 104 ont enregistré au moins une solution. Par . Publié le 16 décembre 2020 à 15h59 - Mis à jour le 29 octobre 2021 à 18h16 Ressources Déployé au premier semestre 2020 auprès des groupements régionaux d’appui au développement de la e-santé (Grades) et des agences régionales de santé (ARS) puis au mois de septembre auprès des industriels, l’outil en ligne Convergence a été mis en place par l’Agence du numérique en santé (ANS) pour que les structures puissent évaluer la conformité de leurs services numériques à la doctrine technique du numérique en santé. En attendant que cette étape devienne obligatoire pour pouvoir recenser ses solutions dans l’espace numérique de santé (ENS), l’ANS a publié le 16 décembre 2020 un premier état des lieux. Ou plutôt deux : l’un sur l’utilisation de l’outil par les Grades et les ARS, l’autre par les industriels. Source : ANS, décembre 2020 L’ANS fait ainsi état de 278 industriels inscrits à l’outil, parmi lesquels 104 ont déclaré au moins un de leurs produits. BergerLevrault, Cegedim Healthcare Software, CEGI, Dedalus France, Enovacom, Evolucare, Expertiz santé, Softway Medical, nehs digital, Pharmagest et Technidata “ont dépassé la barre des cinq produits décrits pour cette première campagne”. Au total, 230 solutions sont enregistrées. Elles s’adressent quasiment tout autant aux cabinets libéraux qu’aux établissements de santé et au secteur médico-social. 109 proposent la gestion de dossier patient, 89 sont des solutions de connecteur au dossier médical partagé (DMP) et 51 des produits de téléconsultation. D’après l’analyse de l’ANS, “la sécurité atteint un haut degré de maturité, l’authentification apparaît à un degré moyen, l’identification des patients qui doit conduire au déploiement de l’identifiant national de santé (INS) n’atteint pas encore le niveau attendu à date, la e-prescription est très peu implémentée et le niveau de maturité d’interopérabilité est globalement homogène”. Dans son bilan, l’Agence du numérique en santé détaille, industriel par industriel, le niveau de maturité de ses produits en termes d’urbanisation et d’interopérabilité. Pour ce qui est de la maturité de leur stratégie globale “au regard des ambitions de la feuille de route” (voir graphique ci-dessus) – schéma d’architecture, niveau d’agrément ou de certification des services d’hébergement des données de santé (HDS), sécurité opérationnelle et connaissance, voire utilisation des données du Health data hub (HDH), elle note un taux de maturité moyen de 77,4 %. CybersécuritéDMPEtudeHealth data hubhébergeursHôpitalInteropérabilitémédecinTag11téléconsultation Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Les 9 questions pour comprendre et s’approprier l’INS Conseil du numérique en santé : 2021 sera “une année décisive”