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Accueil > Financement et politiques publiques > Financement de l'innovation > Le système de santé en 2030 vu par le Leem

Le système de santé en 2030 vu par le Leem

Le Leem, accompagné du think tank Futuribles, rend public le “premier exercice d’horizon scanning de ce pays” en matière de soins de santé. Autour de 12 pathologies et 14 vecteurs d’innovations, son rapport “Santé 2030” définit les enjeux de la transformation du système de santé et précise les obstacles à franchir.

Par . Publié le 18 mars 2019 à 17h59 - Mis à jour le 18 mars 2019 à 17h59
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“Il y a quelques années, on glosait beaucoup sur la panne d’innovation. Plus personne n’oserait prétendre cela (…), au point où les progrès de la science donnent parfois une sensation de vertige. Nous ressentons aujourd’hui que nous sommes à la veille d’une vague d’innovations de rupture”. Philippe Lamoureux, directeur général du Leem (Les Entreprises du médicament), a introduit en ces termes le rapport “Santé 2030” qu’il présentait à la presse le 14 mars. Rapport qu’il souhaite voir devenir “un outil de référence, de compréhension sur ce qui est en train de se jouer”. Soit 220 pages d’analyse prospective, fruit d’une “collaboration de près de deux ans avec le think tank Futuribles” et la contribution de 30 experts (directeurs de recherche au CNRS, à l’Inra, à l’Inserm, chefs de services hospitaliers, industriels…).

Gérer la propriété de la donnée

Le rapport “Santé 2030” se structure autour de 12 pathologies (cancers, maladies cardiovasculaires, autisme…) et 14 leviers d’innovations, menant à dix chantiers nécessaires “pour permettre un accès durable et équitable aux traitements et aux solutions santé qui se dessinent aujourd’hui”. Parmi les innovations digitales retenues, figurent les données de santé, l’intelligence artificielle (IA), l’approche intégrative de technologies de pointe ou le patient autonome. Pour chacun de ces vecteurs, le Leem développe “ce qui se profile d’ici 2030”, “ce qui est en cours” et “ce qu’il faut dépasser”. Au sujet des données de santé, il appelle ainsi à “résoudre les problèmes de partage de valeur. Si la donnée appartient juridiquement au malade, de fait elle ne lui ‘appartient pas’. Anonymisée, sécurisée, non divulguée, elle sert la communauté des patients et les avancées de la recherche”. Un point que soulève la mise en œuvre du Health data hub. L’organisation professionnelle souhaite également “ne pas interpréter de façon trop rigide le règlement général sur la protection des données (RGPD) (…) qui ralentit le processus de collecte de données intelligentes”. Sur ce qui relève de l’IA, il va falloir dépasser, toujours selon le Leem, la question de son appropriation par le corps médical, les enjeux de responsabilité en cas de dysfonctionnement ou de mauvais diagnostic et ceux d’accès aux progrès issus de cette technologie. Idem pour la nouvelle prise en charge digitalisée du patient : “cette révolution” doit bénéficier au plus grand nombre de patients.

Quant aux chantiers à ouvrir et à réussir, le Leem retient notamment le recueil de l’expérience du patient et le mariage entre données de santé et IA pour améliorer la qualité du diagnostic et des soins. “D’ici à 2030, l’IA devrait être présente sur tous les fronts de la santé, s’appuyant sur la production continue de données nouvelles”, souligne le rapport dont les auteurs entrevoient “des débouchés potentiels multiples”, en matière de prévention, de prise en charge, de pharmacovigilance et de recherche clinique. Autant de “briques nécessaires à la transformation du système de santé”.

 

L’intelligence artificielle en chiffres
Dans son rapport “Santé 2030”, le Leem rappelle que la France compte parmi les quatre premiers pays au monde pour la production mondiale d’articles sur l’intelligence artificielle tous secteurs confondus, avec la Chine, les États-Unis et le Royaume-Uni. L’IA en France, c’est ainsi 268 équipes de recherche, 5 300 chercheurs, 18 diplômes de mastères spécialisés en IA, 80 ETI et PME et 270 start-up spécialisées dans l’IA avec un rythme de création de plus de 30 % par an depuis 2010 et une enveloppe publique de 400 M€ sur le quinquennat pour la recherche en IA, via des partenariats publics-privés.

 

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