Derrière l’enquête du Times, qui révélait à la mi-mars que YouTube diffuse des publicités autour de vidéos appelant à la haine et à la violence, se cache une société américaine, baptisée Gipec (pour “Global Intellectual Property Enforcement Center”), révèle Adage lundi 27 mars. Spécialisée dans l’inspection du “deep web”, elle repère des mots clés, des expressions et des tendances associées à l’apologie du terrorisme et de la haine.
Son propriétaire, Eric Feinberg, est également co-dépositaire
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