Jusqu'à présent, le header bidding, cette technologie qui permet aux éditeurs de mettre en concurrence davantage de sources de demande – DSP, adexchanges, adnetworks - lors de leurs ventes programmatiques, a surtout été intégré par des éditeurs anglo-saxons De plus en plus d'éditeurs français l'envisagent mais se demandent comment procéder. Quels gains espérer ? Quels risques pour la latence des sites ? Quel wrapper utiliser ? Header bidding côté serveur ou côté client ? Avec quels SSP ? Bastien Deleau, programmatic sales director chez aufeminin, explique comment le groupe média a adopté le header bidding, et les bénéfices qu'il en a tiré.
Origines
« Les raisons de l’adoption du header bidding par aufeminin s’inscrivent dans un contexte global pour notre groupe. Le siège social est en France, où nous comptons 150 personnes, mais nous employons 400 personnes au total dans le monde, avec des éditeurs et des audiences sur tous les continents, hors Asie. Le site aufeminin est traduit en huit langues dans 18 pays. Nous avons aussi des médias locaux qui attirent des audiences importantes, comme le média de cuisine Marmiton en France...
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Lundi 22 mai 2017