La hausse de près de 7 % du chiffre d’affaires de The Economist entre mars 2016 et mars 2017 (de 331 à 353 millions de livres) cache une réalité plus contrastée. Son activité publicitaire, en particulier, a encore reculé, cette fois de 21 %, selon ses derniers résultats publiés.
Le titre n’échappe pas à la tendance mondiale : 18 % de ses revenus sont désormais issus de la publicité, contre 40 % il y a sept ans. Il tente donc de développer son activité numérique, et notamment le modèle payant...