Aux États-Unis, où le chômage partiel n’existe pas, les sociétés adtechs prennent des mesures, dont le licenciement, pour réduire leurs frais et résister à la crise sanitaire en cours. L’éditeur de DSP et de DMP MediaMath a ainsi licencié 8 % de ses effectifs à l’international et réduit de 10 % le salaire des employés maintenus pour se préparer à “une baisse à deux chiffres” de ses revenus en 2020. Cette part atteint 7 % chez l’adexchange TripleLift, qui a également imposé des congés aux salarié
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°467
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Lundi 20 avril 2020