Alors que Snapchat vient d’annoncer avoir atteint les 8 milliards de vidéos vues chaque jour - l’application rejoint ainsi Facebook -, de plus en plus d’éditeurs français ouvrent un compte sur cette application de messagerie éphémère, particulièrement prisée des adolescents : 44 % des 15-24 ans ont déjà inst allé l’application, selon Médiamétrie. Depuis début février, une demi-douzaine d’éditeurs ont sauté le pas. Encore privés de l’exposition et des revenus publicitaires offerts par les chaînes Discover - un format aujourd’hui réservé aux médias anglo-saxons -, ils doivent se contenter d’y poster des “stories” : une succession d’images ou de vidéos customisables. Mais Snapchat veut séduire davantage les éditeurs et développer sa monétisation publicitaire.
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Le Figaro
Médias, Offres payantes
Pourquoi un tel engouement pour une application encore relativement confidentielle en France et qui ne s’est pas encore adaptée aux contraintes de publication des éditeurs ? Quels contenus y poster et quels moyens y a llouer ? Pour quels résultats ? mind-Satellinet a interrogé Konbini, Buzzfeed France, Le Figaro, BFMTV, Le Parisien, L’Equipe, Meta-Media et 20 Minutes pour comprendre les problématiques propres à la publication sur Snapchat.
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Lundi 7 mars 2016