Malik Idri a été l’un des avocats représentant Equativ dans la procédure l’opposant à Google devant le Tribunal de commerce de Paris pour pratiques anticoncurrentielles dans l’adtech, avec 26,5 millions d'euros de dommages et intérêts prononcés contre le groupe américain à l’automne dernier. Une première dans le monde. Pour mind Media, il explique pourquoi il estime néanmoins la décision rendue en partie insatisfaisante. Il en tire également les enseignements pour le droit de la concurrence appliqué au numérique et pour les procédures similaires entamées par une dizaine d’éditeurs médias. Il continue à représenter une partie d’entre eux dans leurs contentieux avec Google, après avoir récemment quitté le cabinet Orrick pour FTPA.
Publication
24 janvier 2025 à 16h05
Mis à jour le 6 mars 2025 à 17h12
Temps de lecture
32 minutes
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24 janvier 2025 à 16h05, Mis à jour le 6 mars 2025 à 17h12
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Equativ, dont vous étiez l’un des avocats, a obtenu 26,5 millions d’euros d’indemnités en octobre 2024, dans son contentieux judiciaire contre Google. Quel regard portez-vous sur la décision rendue par le tribunal de commerce ?
J’en ai un avis contrasté. Il y a beaucoup d’éléments qui sont très positifs dans cette décision. D’abord, c’est la première fois dans le monde que Google est condamné à réparer le préjudice résultant des pratiques anticoncurrentielles mises en place dans la publicité...
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