Aux Etats-Unis, Google, Facebook et Twitter sont sous le feu des critiques pour avoir laissé des comptes liés à la Russie acheter des publicités à caractère politique sur leurs plateformes pendant la dernière campagne présidentielle. Pour éviter une plus grande régulation (lire la présentation du projet “Honest Ads Act” sur The Drum), Twitter tente de devancer le gouvernement américain, en prenant un engagement en faveur de la transparence.
Dans un communiqué publié mardi 24 octobre, le directe
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Article à retrouver dans La lettre mind Media n°356
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Lundi 30 octobre 2017