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Accueil > Marques & Agences > Achat média > Comment Publicis décline son offre de conseil et de technologies Sapient en France

Comment Publicis décline son offre de conseil et de technologies Sapient en France

Par . Publié le 22 juin 2017 à 14h56 - Mis à jour le 22 juin 2017 à 14h56
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Deux ans après avoir finalisé l’acquisition de Sapient, Publicis déploie son activité en France depuis le printemps. Elle a été adossée à l’agence Razorfish.

Après notamment Digitas en 2007, Razorfish en 2009 et Nurun en 2014, l’acquisition de Sapient par Publicis en 2016 a ponctué la série d’acquisitions structurantes engagée par son désormais ex-président Maurice Lévy. L’objectif, à chaque fois : diversifier les offres et les revenus de Publicis par des expertises numériques, en création, data, conseil et technologies.

Sapient, cabinet de 12 000 personnes, acquis pour près de trois milliards d’euros, constitue désormais au sein du groupe le socle de son offre de transformation numérique des entreprises et des marques, autour d’une activité de conseil et de technologies.

En France, l’offre Sapient a été intégrée à Razorfish (ex-Nurun), agence spécialisée en technologies digitales, pour donner naissance à SapientRazorfish France. La nouvelle agence a été officialisée fin mars 2017 et placée sous la direction d’Antoine Pabst en qualité de CEO, rattaché à Nigel Vaz, CEO Europe et Asie de Sapient. Il était déjà CEO de Razorfish (sa fiche LinkedIn).

Une concurrence vive sur la transformation numérique

“Nous proposons désormais une offre hybride et différenciante, qui s’appuie à la fois sur la communication et le marketing, l’expérience consommateur et les technologies pour des projets à long terme, en mettant toujours au centre de nos préoccupations le business du client”, souligne Antoine Pabst.

Le but est en partie de concurrencer les cabinets comme Accenture, PwC, Capgemini et Deloitte, qui, déjà armés sur l’activité de conseil et de prestations techniques, concurrencent de plus en plus les agences sur les activités de création, de communication, voire de data.

SapientRazorfish France illustre l’ambition affichée aujourd’hui par les grands groupes de communication : se positionner sur la transformation numérique en faisant le chemin inverse à celui des cabinets, en étoffant leurs offres avec davantage de technologies et de conseil et en misant sur une expérience client plus forte.

En s’écartant, donc, du modèle des agences traditionnelles : des agences de publicité, dont l’activité s’inscrit dans un métier de prestation, avec des appels d’offres où une grande prime est accordée à la notoriété et aux relations personnelles, mais aussi des agences digitales spécialisées dans des projets de court terme liés la stratégie, au développement et à l’UX, avec peu de conseil et peu de suivi des projets.

De nouveaux métiers intégrés

SapientRazorfish France, composée de 160 collaborateurs, peut s’appuyer sur des synergies avec Sapient, notamment sa structure de production basée en Inde. Par les objectifs immédiats : réussir l’intégration avec Sapient, développer les collaborations et synergies avec les autres agences de Publicis et enrôler de nouvelles expertises.

“Il nous manquait un profil : des program managers, qui font office de “supers directeurs de projets” ; ce sont des collaborateurs capables de gérer la conception, la planification et le développement de grands projets techniques (des plateformes, des CMS…) qui sont très structurants pour les marques, par exemple dans le e-commerce”, indique Antoine Pabst.

L’agence a donc recruté début 2017 Xavier Mouly en tant que directeur du program management. Il était directeur Consulting Services à Sogeti, filiale de Capgemini spécialisée dans le développement d’infrastructures, le conseil en technologies et le testing. Pour étoffer son équipe, deux collaborateurs de Valtech ont également été recrutés et l’agence prévoit de nouvelles arrivées.

L’offre de SapientRazorfish est orientée en France vers des annonceurs issus de trois grands secteurs : le luxe (avec des clients comme L’Oréal et Tag Heuer), la banque (Crédit agricole) et l’énergie (EDF, Suez environnement). L’agence travaille actuellement avec Sapient Londres sur une plateforme d’envergue mondiale pour une grande marque de cosmétique.

Selon Les Echos, l’activité a généré 17 millions d’euros de revenus en France en 2016, avec l’objectif d’atteindre 25 à 30 millions d’euros d’ici fin 2017.

Jean-Michel De Marchi

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