Accueil > Marques & Agences > Publicis termine l’année 2024 à + 5,8 % de croissance organique Publicis termine l’année 2024 à + 5,8 % de croissance organique Le groupe a publié des résultats annuels et trimestriels qui l'amènent à revendiquer la place de numéro un mondial sur l'exercice 2024, pour la première fois de son histoire. Par Raphaële Karayan. Publié le 04 février 2025 à 17h39 - Mis à jour le 04 février 2025 à 17h40 Ressources Le groupe Publicis a publié mardi 4 février ses résultats annuels 2024. Il affiche une croissance organique de 5,8 % sur l’exercice, dont 6,3 % au dernier trimestre, ce qui lui permet de revendiquer la première place des Big Six sur l’exercice, en termes de revenu net (près de 14 milliards d’euros). “Nous finissons l’année avec une croissance trois fois plus rapide que celle des holdings concurrentes, et cinq fois plus rapide que celle des cabinets de conseil IT”, a déclaré le PDG du groupe, Arthur Sadoun, dans un communiqué. La plus forte croissance (à deux chiffres) est portée par l’activité média, tandis que Sapient (conseil IT) enregistre un “léger recul”. En France, l’activité n’a pas été à la hauteur de l’ensemble. La croissance organique s’élève à – 2,1 %, pour un revenu net en augmentation de 6 %. 800 à 900 millions d’euros pour des acquisitions en 2025 La marge opérationnelle, à 18 %, “particulièrement dûe aux gains de productivité générés par l’IA générative”, selon les déclarations d’Arthur Sadoun aux Echos, a permis d’absorber les 100 millions d’euros d’investissement dans l’IA, les recrutements, la formation et les augmentations de salaire dans le groupe (136 millions investis dans la “mise à niveau des talents”). Les 1,84 milliard d’euros de free cash flow dégagé ont servi notamment aux acquisitions (Influential, Mars United Commerce). Pour 2025, le groupe prévoit encore de consacrer 800 à 900 millions d’euros à des acquisitions ciblées. Il vise une croissance organique entre 4 et 5 %. Parmi ses priorités figure également le fait de “saisir les opportunités liées au rachat d’IPG par Omnicom”. Le PDG évoque notamment, dans Les Echos, un effet d’aubaine lié aux suppressions d’emplois qui découleront des synergies et de la restructuration, qui lui a déjà permis de débaucher des cadres sur des postes clés ; ainsi que des occasions de remporter des budgets. Raphaële Karayan AgencesRésultats économiques Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Analyses Fusion Omnicom-IPG : quelles conséquences en France ? 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