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Accueil > Non classé > Jean-Michel Henrard (Dust Mobile) “Nous aidons les banques et les industriels à sécuriser leurs remontées d’informations critiques”

Jean-Michel Henrard (Dust Mobile) “Nous aidons les banques et les industriels à sécuriser leurs remontées d’informations critiques”

Cofondateur de l’opérateur mobile de cyber défense Dust Mobile, Jean-Michel Henrard revient sur le fonctionnement de cette solution de conception et de sécurisation de réseaux dédiés à l’échanges d’informations critiques. 

Par . Publié le 10 mars 2020 à 10h07 - Mis à jour le 28 janvier 2025 à 15h55
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À quel besoin répond Dust Mobile ? 

Nous protégeons les transferts d’informations en assurant la sécurité du réseau utilisé, et pas seulement celle des terminaux (ou endpoint). Les institutions gouvernementales ou les organismes d’importance vitale comme les grandes banques françaises ont un réel besoin de sécurisation des échanges. Si ces acteurs sont victimes d’une cyberattaque, par exemple, et que leurs systèmes d’information tombent en panne, ils doivent pouvoir poursuivre leurs activités sans mettre en danger leurs informations stratégiques. Cela n’est possible que lorsqu’on a la maîtrise du réseau.

Nous nous sommes donc lancés en 2017, pour concrétiser cette idée, simple sur le papier, mais complexe à mettre en oeuvre techniquement. Au terme de deux années de travail, nous sommes parvenus à une solution fiable et reconnue – c’est à dire auditable – que nous commercialisons depuis six mois auprès d’établissements gouvernementaux ou privés, dans des contextes d’échange d’informations critiques. 

En pratique, en quoi consiste la solution ? 

Elle se décompose en trois volets. D’abord, une carte SIM physique (fabriquée par Gemalto) ou une e-SIM. Elle est propriétaire, présente tous les éléments d’authentification forte, de chiffrement et de contrôle de sécurité que l’on peut intégrer dans n’importe quel terminal (y compris ceux de paiement, capteurs, caméra de surveillance, etc.). Nous détenons ensuite une licence d’opérateur auprès de l’ARCEP en France et une interconnexion avec 684 réseaux dans le monde [sur les quelques 800 existants, ndlr]. Nous atteignons ainsi une moyenne de deux réseaux dans les 214 pays que nous couvrons, sauf dans ceux où il existe un monopole. Enfin, toutes les informations sont rapatriées sur notre plateforme, que nous avons construite pour être simple d’utilisation, et qui gère les communications voix, texte ou vidéo de manière protégée. 

Nous offrons la capacité à monter un réseau sécurisé international en quelques minutes et à fournir des cartes SIM sécurisées aux collaborateurs responsables d’informations critiques. Les équipes de M&A ou toute personne concernée par un dossier critique peuvent ainsi se maintenir en condition opérationnelle si les réseaux habituellement utilisés ne sont plus opérationnels. De leur côté, les responsables sécurité conservent le pilotage du dispositif. Ils peuvent surveiller à distance et en temps réel nos cartes SIM et identifier des attaques potentielles, alors que la visibilité sur les réseaux est habituellement réservée aux opérateurs. 

Quel est votre business model ? 

Nous vendons la carte sim 89 euros. Si elle n’est pas utilisée, le client ne paie rien, et si elle l’est, on la facture à l’usage, au mégaoctet ou à la minute d’appel. L’avantage, c’est que notre structure de coûts est beaucoup plus légère que celles d’opérateurs établis. Cela nous permet de proposer des tarifs généralement très inférieurs à ceux des opérateurs traditionnels, et de combiner deux bénéfices : la sécurisation des échanges et des économies sur les communications internationales. 

Dust Mobile

Création : 2017

Co-fondateurs : Jean-Michel Henrard, François d’Ormesson 

Effectifs : moins de dix collaborateurs

Implantation des clients : une vingtaine de pays d’Europe, d’Amérique du Nord, d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie 

Fonds levés : 3 millions d’euros

Investisseurs : ACE Management (Brienne III), Omnes Capital

  • cybersécurité
  • système d'information

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