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Accueil > Services bancaires > Lydia étend sa série B de 72 millions d’euros supplémentaires

Lydia étend sa série B de 72 millions d’euros supplémentaires

Lydia, qui revendique 4,4 millions d’utilisateurs, s’est lancée au Portugal en 2020 et ouvrira trois autres pays en 2021. L’application de paiement veut recruter 2 millions d’utilisateurs supplémentaires l’année prochaine.

Par Aude Fredouelle. Publié le 16 décembre 2020 à 14h19 - Mis à jour le 11 juin 2021 à 9h03
Lydia
  • Ressources

Lydia a annoncé le 17 décembre avoir bouclé une extension de 72 millions d’euros de sa levée de fonds en série B. L’opération a été menée par Accel et suivie par les principaux actionnaires historiques et vient donc s’ajouter aux 40 millions d’euros levés en janvier 2020 auprès du géant chinois Tencent et de ses actionnaires Open CNP (filiale de CNP Assurances), XAnge et New Alpha.

Lydia compte 4,4 millions d’utilisateurs et touche 30 % des 18-30 ans français, indique son CEO Cyril Chiche à mind Fintech, contre 2,9 millions d’utilisateurs fin 2019. La start-up ne précise pas la part d’utilisateurs actifs. Lydia veut recruter 2 millions d’utilisateurs supplémentaires en 2021. 

La quasi-totalité des utilisateurs sont français mais Lydia veut désormais accélérer à l’international. Après des “soft tests” dans plusieurs pays d’Europe, Lydia s’est lancée au Portugal en 2020 et y a ouvert un bureau. Trois autres pays suivront en 2021. “Nous n’avons pas encore décidé lesquels, mais avons réduit la liste des possibilités à l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique et l’Irlande”, commente le CEO. 

Lydia a doublé ses volumes de paiement en 2020

Malgré la pandémie, et une chute de 70 % de ses volumes pendant le confinement en avril, Lydia a plus que doublé ses volumes en 2020. “Ce n’est pas le P2P qui a porté notre croissance, vue la situation, mais la transformation de Lydia pour en faire un super compte courant et une super-app, notamment pour le paiement sans contact mobile, qui est en train d’exploser”, se félicite Cyril Chiche. Le paiement mobile représente la moitié des transactions par cartes Lydia.

Lydia a en effet diversifié son application de paiement pour en faire une “super-app” proposant du paiement entre particuliers ou en magasin mais aussi des cartes bancaires, l’agrégation de comptes et des services complémentaires de partenaires, proposés sur une marketplace. “Aujourd’hui, notre principale source de revenus concerne les transactions : les paiements de professionnels, les revenus d’interchange des cartes Lydia et les revenus de la cagnotte web, explique Cyril Chiche. La deuxième source, celle qui croît le plus, porte sur les abonnements premium. Nous avons refondu les offres début novembre pour proposer l’abonnement bleu à 4,90 euros et le noir à 7,90 euros et le second représente un tiers des nouveaux abonnés premium, bien au-delà de nos attentes.” En juillet 2019, Cyril Chiche indiquait que “plus de 20 % de la base d’utilisateurs actifs de Lydia utilisent les fonctions avancées de Lydia dont Lydia Premium”. Une proportion qu’il confirme de nouveau à mind Fintech.

La troisième source de revenus provient de la marketplace de douze services partenaires, portée par le crédit (avec Floa Bank mais aussi Younited Credit, depuis décembre), le don et l’achat de cartes cadeaux avec “bonus”. L’assurance smartphone lancée avec CNP Assurances a été abandonnée faute de succès et remplacée par une nouvelle offre avec Coverd. Lydia propose aussi de l’envoi d’argent à l’étranger avec Remitly, de l’assurance habitation avec Luko… “Nous expérimentons pour évaluer l’appétence de nos utilisateurs puis nous adapterons les offres, commente le CEO. Celles qui ne fonctionnent pas seront abandonnées.”

Rentabilité de l’activité française en 2021

La start-up s’appuie sur des partenaires comme la Société Financière du Porte-Monnaie Electronique Interbancaire (SFPMEI) et la plateforme de Banking-as-a-Service Treezor (filiale de Société Générale). Lydia compte 120 collaborateurs, dont une vingtaine au Portugal, et devrait en recruter 70 à 100 de plus l’année prochaine. En septembre 2020, le CEO dévoilait à Sifted viser le seuil de rentabilité d’ici 2021 en dégageant en moyenne 15 euros de revenus annuels par utilisateur actif, soit 1,2 euro par mois. “La rentabilité reste un sujet central et nous la visons toujours pour l’activité française d’ici fin 2021, mais pas au global puisque nous allons croître à l’étranger”, conclut Cyril Chiche.

Aude Fredouelle
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