Accueil > Investissement > Cryptoactifs > Le bitcoin échappe à un “hard fork”, l’ether risque d’en subir un Le bitcoin échappe à un “hard fork”, l’ether risque d’en subir un Par Antoine Duroyon. Publié le 09 novembre 2017 à 18h30 - Mis à jour le 09 novembre 2017 à 18h30 Ressources Deux événements atypiques ont touché les deux premières crypto-monnaies du marché. Le cours du bitcoin, tout d’abord, a été marqué par l’annonce, le 8 novembre, de la suspension d’une mise à jour logicielle connue sous le nom de “Segwit2x”. Ce “hard fork” (séparation de la chaîne de blocs en deux parties) qui visait à augmenter la taille des blocs aurait pu aboutir au versement de dividendes pour les détenteurs de bitcoins.Mais les promoteurs de “Segwit2x”, principalement des start-up bitcoin et des pools de mineurs, n’ont pas réussi à faire émerger un consensus suffisant. La dissipation du “fork” a eu un effet positif sur le cours du bitcoin qui est à monté plus de 7800 dollars l’unité, selon CoinDesk. En ce qui concerne l’ether, la crypto-monnaie voit son cours progresser de plus de 8% (à environ 326 dollars l’unité) malgré la perspective d’un “hard fork”. Cette éventualité est liée à une vulnérabilité sérieuse relative au wallet britannique Parity. Un bug a accidentellement gelé plus de 152 millions de dollars d’ethers. Selon le responsable de la sécurité au sein de la Fondation Ethereum, Martin Holst Swende, il n’y a pas d’autre solution qu’un nouveau “hard fork” de la Blockchain Ethereum, après celui réalisé dans le sillage de l’affaire The DAO en 2016. Dans un entretien avec Bloomberg, le CEO de Citigroup, Michael Corbat, estime que les Etats pourraient développer des monnaies digitales face aux risques posés par le bitcoin en matière de données, collecte de l’impôt, blanchiment d’argent, etc. Antoine Duroyon bitcoinblockchaincryptoactifethereum Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind