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Accueil > Financement > Crédit > Gilles Porte (Euler Hermes) : “Nous avons modifié notre approche en matière de souscription des risques”

Gilles Porte (Euler Hermes) : “Nous avons modifié notre approche en matière de souscription des risques”

Présent auprès de fintech, l’assureur-crédit travaille aussi sur des APIs pour les plateformes d’e-commerce. Entretien avec Gilles Porte, ‎responsable partenariats et développement digital chez Euler Hermes France.

Par Antoine Duroyon. Publié le 15 septembre 2017 à 9h00 - Mis à jour le 28 janvier 2025 à 16h02
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Quelles relations entretient Euler Hermes avec les fintech actives dans le domaine de l’affacturage ?

Dès leur émergence il y a 2 ou 3 ans, nous avons rencontré  ces acteurs qui viennent disrupter les modèles traditionnels de financement des entreprises et qui apportent des solutions plus digitales, notamment au travers de plateformes internet. Nous avons d’abord apporté à ces nouveaux acteurs – parmi lesquels on peut citer Finexkap et URICA des solutions d’assurance-crédit classiques,  inspirées de ce que nous faisions avec les banques et les factors. Mais nous avons aussi regardé comment ils intégraient ces solutions dans leurs propres modèles et, de fil en aiguille, nous avons été amenés à développer des offres spécifiques correspondant davantage à leurs business models. Nous leur apportons une solution d’assurance-crédit complète qui couvre l’ensemble de la chaîne : sélection des créances à financer, recouvrement et, in fine, assurance. Cela reste encore un micro-marché mais ses acteurs connaissent des taux de croissance importants.

Quelles évolutions ce nouveau marché implique-t-il pour votre organisation ?

Nos méthodes évoluent progressivement selon deux axes. D’abord, il y a la technologie. Nous développons des APIs qui permettent de se connecter beaucoup plus facilement à nos systèmes. Et puis, nous avons modifié notre approche en matière de souscription des risques afin de pouvoir offrir un service et proposer un prix en temps réel grâce à l’analyse d’une masse de données sur le fournisseur, l’acheteur et la transaction commerciale elle-même. Dans l’assurance-crédit traditionnelle, on couvre un encours acheteur (généralement un portefeuille de créances), alors que le modèle de ces plateformes implique une couverture facture par facture. Cela entraîne également une évolution des modèles traditionnels d’abonnement, avec un volume d’engagement annuel, au profit de solutions basées sur du “pay per use”.

Quelles autres perspectives dessine ce mouvement vers les APIs ?

En utilisant notre base technologique et notre savoir-faire en matière d’analyse du risque, nous voulons à terme disposer d’APIs beaucoup plus ouvertes qui puissent notamment répondre aux problématiques des plateformes d’e-commerce. Ces acteurs sont aujourd’hui en quête de solutions d’assurance sur le paiement pour leurs marchands. Après une phase d’observation de ce marché, nous avons engagé une phase de construction de solutions adaptées aux différents business models de ces plateformes.

Antoine Duroyon
  • affacturage
  • assurance crédit
  • plateformisation

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