• Contenus gratuits
  • Notre offre
Menu
  • Ressources
    • Toutes les ressources
  • Infos
    • Toutes les infos
  • Essentiels
    • Tous les essentiels
  • Analyses
    • Toutes les analyses
  • Data
    • Data
  • Newsletters
  • Profil
    • Je teste 15 jours
    • Je me connecte
  • Profil
    • Mon profil
    • Je me déconnecte
CLOSE

Accueil > Services bancaires > Les fintech américaines agressives sur les taux servis

Les fintech américaines agressives sur les taux servis

À la suite de la remontée des taux directeurs entérinée par la banque centrale américaine, les fintech américaines proposent des taux de rémunération agressifs sur leurs produits d'épargne. Apple Savings, lancé le 17 avril, serait déjà un succès.

Par Antoine Duroyon. Publié le 05 mai 2023 à 17h19 - Mis à jour le 10 mai 2023 à 12h02
  • Ressources

Le 3 mai 2023, la banque centrale américaine a entériné la dixième hausse de ses taux directeurs en un peu moins d’un an. L’institut d’émission a relevé ses taux d’un quart de point, portant la fourchette des Fed funds à 5 %-5,25 %. Cette décision pousse les fintech américaines à faire preuve d’agressivité dans les taux de rémunération servis à leurs clients. Apple en a fait l’illustration en accompagnant le lancement de son livret d’épargne, baptisé Savings, d’un taux annualisé de 4,15 %. Quatre jours seulement après son lancement, le 17 avril dernier, Apple Savings avait recueilli 990 millions de dollars de dépôts, d’après Fortune. 240 000 comptes auraient été ouverts.

Robinhood, prenant acte de la décision de la Réserve fédérale, a hissé le taux de rémunération des avoirs non investis pour les clients Gold (5 dollars par mois) à 4,65 %, tandis que Lending Club offre un taux de 4,15 % et que son fondateur Renaud Laplanche, désormais à la tête d’Upgrade, promet 4,56 % pour les clients avec un solde d’au moins 1 000 dollars. “Il s’agit en fait d’un compromis pour les consommateurs, entre la sécurité ou l’apparence de sécurité, et le rendement“, a commenté Renaud Laplanche, interrogé par CNBC.

Les fintech américaines, dont certaines détiennent une licence bancaire comme SoFi ou Varo Bank, profitent également des remous provoqués par les faillites de SVB, Signature Bank et First Republic. Elles ne sont néanmoins pas à l’abri d’éventuelles perturbations. La FDIC a récemment relevé des pratiques bancaires peu sûres ou douteuses chez Cross River, un fournisseur de Banking-as-a-Service de nombreuses néobanques.

Antoine Duroyon
  • épargne

Besoin d’informations complémentaires ?

Contactez Mind Research

le service d’études à la demande de mind

Découvrez nos contenus gratuitement et sans engagement pendant 15 jours J'en profite
  • Le groupe mind
  • Notre histoire
  • Notre équipe
  • Nos clients
  • Nos services
  • mind Media
  • mind Fintech
  • mind Health
  • mind Rh
  • mind Retail
  • mind Research
  • Les clubs
  • mind et vous
  • Présentation
  • Nous contacter
  • Vous abonner
  • A savoir
  • Mentions légales
  • CGU
  • CGV
  • CGV publicité
  • Politique des cookies
Tous droits réservés - Frontline MEDIA 2025