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Accueil > Services bancaires > Guillaume Princen (Stripe) : “Stripe France travaille sur des projets avec de grands groupes”

Guillaume Princen (Stripe) : “Stripe France travaille sur des projets avec de grands groupes”

Directeur général France et Europe du Sud de la suite d'APIs de paiement pour les e-commerçants, Guillaume Princen fait le point sur le développement dans l'Hexagone.

Par Aude Fredouelle. Publié le 08 décembre 2016 à 14h45 - Mis à jour le 28 janvier 2025 à 16h05
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Stripe s’est lancé en France officiellement en juin. Comment se développe l’activité ?

Des millions de Français ont déjà fait un achat via Stripe. Nous comptons des milliers de clients, parmi lesquels de belles entreprises de nouvelles génération, comme l’e-commerçant de matelas Tediber ou l’application de réservation d’hôtels en journée DayUse. Et de plus en plus d’entreprises traditionnelles font aussi appel à nous, comme le champagne Taittinger ou le FC Lorient. Nous travaillons aussi sur des projets avec de grands groupes… mais je ne peux pas encore en dire plus. Nous sommes une dizaine de collaborateurs à Paris.

 

Que pouvez-vous apporter aux grands groupes ?

Les grands groupes ont les mêmes besoins que les start-ups quand ils commencent à se poser la question de la bascule du paiement sur mobile ou de tester de nouveaux business models. Quand des grosses entreprises, qui étaient plutôt habituées au paiement à l’acte, passent sur des modèles différents et mettent en place du cross-selling, alors Stripe s’avère utile. Nous couvrons tous les paiements et business models existants : paiement à l’acte, récurrent, place de marché, réseaux sociaux…Qu’il s’agisse de grands groupes ou de start-ups, Stripe est aussi un outil d’aide à l’internationalisation. C’est pour cela que nous avons lancé Atlas, en février, qui permet de créer facilement sa propre entreprise aux Etats-Unis, mais d’autres services suivront. C’est primordial pour nous : parmi les nouveaux clients acquis en 2016 par Stripe en France, plus de 30% enregistrent la majorité de leur chiffre d’affaires en dehors de la France.

 

 

Qu’est ce que le lancement de l’API Works With Stripe implique pour la stratégie de Stripe ?

Stripe ne veut pas seulement être un processeur de paiement mais un outil global pour les entreprises et pour l’écosystème des entrepreneurs. Nous avons lancé deux nouveaux produits depuis juin. D’abord, Stripe a dévoilé Radar, un outil destiné à lutter contre la fraude, en octobre. Ensuite, nous avons déployé Works with Stripe en novembre pour que toutes les entreprises puissent développer des services liés au paiement sur notre plateforme. Plus de 300 applications ont déjà été développées. En France, Octobalt calcule automatiquement les TVA sur les produits, par exemple, et Sellsy facture selon les spécificités locales.

 

 

Aude Fredouelle
  • API
  • paiement en ligne
  • plateformisation

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