Accueil > Services bancaires > Banque au quotidien > Qonto vise quatre pays européens d’ici fin 2018 Qonto vise quatre pays européens d’ici fin 2018 Par . Publié le 11 janvier 2018 à 13h36 - Mis à jour le 11 janvier 2018 à 13h36 Ressources La néo-banque pour les professionnels Qonto a lancé le 3 janvier son outil de gestion budgétaire (PFM). Elaboré en interne par 4 développeurs à temps plein pendant 2 à 3 mois, celui-ci permet entre autres de visualiser les flux entrants et sortants mois par mois et de les catégoriser par utilisateurs et par type de dépenses. Il intègre également un outil de gestion des notes de frais qui sera complété. “Aujourd’hui, nous travaillons sur l’automatisation de la lecture de la facture pour permettre d’importer le montant de la TVA automatiquement”, a ainsi indiqué à mind Fintech Alexandre Prot, CEO de Qonto. La néo-banque travaille aussi sur un outil de prévision de trésorerie qui sera disponible au deuxième trimestre 2018. En ce qui concerne l’encaissement de chèques, Alexandre Prot nous a confirmé que Qonto “est en train de travailler dessus. On va le proposer dans les prochains mois”. La néo-banque prévoit aussi d’ici fin 2018, début 2019, de lancer une offre de crédit et/ou d’affacturage en partenariat avec une autre fintech. “L’idée d’être un hub, un endroit où l’on va connecter des services financiers pour les petites entreprises, est notre envie depuis le début”, explique-t-il. En ce sens, Qonto a d’ores et déjà contractualisé avec iZettle pour les terminaux de paiement, avec Kantox sur les virements internationaux et Legalstart pour faciliter la création d’entreprise. Qonto prévoit aussi de s’exporter d’ici fin 2018 en Italie, en Espagne, en Allemagne et au Royaume-Uni, “mais on ne fera très certainement pas les quatre en même temps“, prévient son dirigeant. La société revendique à fin décembre 5 000 clients, contre quelque 2 000 à fin octobre 2017. Mi-octobre, la néo-banque a commencé le marketing digital – Facebook Ads et Adwords – a indiqué à mind Fintech Alexandre Prot, sans nous préciser le montant alloué. Ce dernier estime qu’environ 80% des clients sont “organiques”, venus par le bouche-à-oreille, et 20% proviennent de l’acquisition payante. banking-as-a-servicenéobanque Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind